Bain de foule en sortant de l’aéroport une préoccupation principale ne pas lâcher le caddy de bagages aux divers rabatteurs qui sont près à m’emmener au bout du pays pour presque rien. Mon nom sur une pancarte Marie Joe Sibrec, je pense donc que c’est moi, deuxième temps ou sont Sev et Sonia. Ne pas quitter l’aéroport sans les retrouver, ouf les voilà ! Après négociation taxi, arrivée à Malika et premiers échanges et contacts autour du camembert et du saucisson. La principale perte de repère déstabilisante est par rapport à la monnaie plus que l’environnement : piste de sable, chevaux à charrettes, transports en commun très décorés et colorés, vie nocturne très animée, petites échoppes, dibiteries (viandes grillés), découverte de la gazelle bière ……
Arrivée à Foundiougne en pirogue, agréable surprise nous arrivons le WE du festival annuel. Logement chez l’habitant, une petite maison tranquille, 2 chambres à notre disposition. Première journée régates à l’heure sénégalaise annoncé à 16h départ à 18h, une foule abondante venue soutenir leurs équipes. Evidemment les noirs ont gagnés (tee-shirts) poursuivie par une soirée culturelle autour de projections de films historiques et danses sénégalaises. Le lendemain, lutte traditionnelle avec des mecs bien musclés après une série de préliminaires à grigri assez longue, à l’heure sénégalaise toujours, à la tombé de la nuit les combats commencent, donc peu de photos. La musique des tam tam, aux rythmes imprégnants et les danseurs successifs font plus le spectacle que les combats par eux-mêmes très rapides avec des règles qui restent pour moi très opaques. En route pour la suite des aventures pour l’îl de Fadiouth.
MJO
vendredi 28 mai 2010
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